La lumière disparaissait, rapidement, voyance mail , le vertige s’emparait de moi, et je ne pouvais rien faire, j’étais dérisoire devant mon propre esprit comme le vieux cerf avait été dérisoire devant le temps qui avait eu raison de lui.
Je venais de comprendre, Tirage tarot gratuit , en regardant les dents du cerf, les dents pour toujours immobiles, que moi aussi, un jour, j’allais mourir, que le temps, inexorable, finirait par m’avoir, quoique je puisse faire ou dire, consultation voyance , je compris, brutalement, que moi aussi, un jour, je serai comme les dents du vieux cerf, condamné à l’immobilité définitive. Je compris que le cerf et moi avions au moins un point commun, et de taille, Voyance par telephone , que ce que le cerf venait de vivre, cela m’attendait aussi, un jour, bientôt ou dans très longtemps. La tête me tournait tant cette révélation m’était brutale. La mort, la mort, Voyante serieuse , je n’arrivais plus à penser à autre chose .
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